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Post-it. La série des poèmes sur carrés jaunes se poursuit. Poèmes concis au quotidien...
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Le passé parle à l'homo poeticus. Des mots inouïs de la langue secrète que partagent les hommes de tous temps, pour apprendre à vivre.
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Quelque chose se passe là-bas, tandis que nous transigeons avec la vierge de fer, l'homo poeticus le sait bien.
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Mais l'homo poeticus pousse toujours devant lui des mystères, en attendant l'horizon.
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Au quotidien les petits carrés jaunes recueillent toujours l'âcre saveur du monde tel qu'il
vient en moi. Dur et dense, fantômatique et fatal.
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