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...au temps du Confinement on respirait les ailes ouvertes à nos flux intérieurs
Le confinement, une des premières fondrières sur l'interminable saga COVID...Pendant que certains sautaient du balcon, battaient leur femme ou plantaient des aiguilles dans une poupée Macron. Ou sombraient, sans bruit, sans frapper chez le voisin, dans la folie ou dans la mort. Je comptais, comme toujours, sur les mots pour m'aider dans ce monde devenu fou, devenu malade, devenu prison.
a remarquable revue de (contre) culture Pro/p(r)ose, continue à publier mes écrits poétiques nés en mars 2020...
C'est là
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