• Très riches heures du Zpresident

     

    L'interminable attente a commencé. Contrairement à la plupart des pays du monde, la France a choisi le confinement des français. Faute tenant à la fois à l'esprit autoritaire et revanchard du Zpresident d'une minorité aisée et dominante, et au laxisme coupable avec lequel on a géré, oui plutôt laissé filer, une pandémie pour les motifs à la fois personnels et politiques les plus méprisables. Si l'on en croit la touriste de la  politique. A. Buzyn, passée d'une Santé en état comateux depuis des années, à une candidature à la mairie de Paris, sans états d'âme aucun, sauf dernièrement quand elle découvre qu'elle n'est plus l'insouciante winner-winner du jour.

     

    MAJ 20/03/2020

     Le confinement comme révélateur...

     

     

     

    Très riches heures du Zpresident

     

    Très riches heures du Zpresident'ai regardé le président à la télé nous annoncer qu'il nous cloîtrait pour notre bien. Ca ne passait pas. Comme d'habitude. Non, encore pire. Quelque chose dans l'air fait que tout paraissait faux et concerté dans son allocution. Un orchestre sémantique jouant en gants blancs sur le pont d'nn navire qui coule. Point nodal de la suspiçion en simulacre, Macron parle d'une réalité « pressante », mais organise quand même le premier tour des municipales. Toujours ça de pris. On voit les rouages dans le crâne présidentiel calculer l'effet-docteur, contre l'effet-maton avec, il faut le rappeler, l'assentiment de l'ensemble d'une classe politique dont l'avidité et la corruption ne sont égalées que par la certitude pathologique de se sentir indispensable.

     

     

     

    Vous êtes confinés. Vous, les « rien », les pauvres, les vieux, les handicapés et les isolés, les précaires et les affamés, les seuls et les malades, la France de la faim, de la folie et et de la détresse. Pas bouger, ok.

     

    La France est encagée par Zpresident, chef de cet État fantoche que nous ont bâti toute la cohorte de personnages à écharpes qui se prennent, depuis une soixantaine d'années, pour des monarques qu'ils ont l'onction d'assez de benêts et de profiteurs.

     

     

     

    Dès aujourd'hui s'étale la bande-son servile des pleureuses et des oracles officiels de médias officiels. En sur-régime, toutes les officines de propagande, à commencer par BFMTV, la poubelle médiatique la plus nauséabonde mis à part les infos de France-Culture – je dis bien les infos, parce qu'il y a parfois des émissions admirables sur cette chaîne totalement infectée par ses patron(ne)s successif(ve)s -, en passant par Le Monde, « le journal de l'élite » déjà au service des GAFA, qui en fait des tonnes sur le confinement, Ouest-France et ces dizaines de woks à fausses nouvelles qu'on appelle PQR. Sans oublier, bien sûr, les ministricules et autres obligés du Macroland, à commencer par la porte-délire du Zpresident, Sibeth Ndiaye. Tous et toutes, avec célérité reprennent les ordres du Zpresident par défaut, par immenses défauts.

     

     

     

    Cet (ir)responsable de l’État français tout entier a décidé d'un confinement sur quinze jours. Une mise en bouche qui devra être sans faille, « sous peine d'amendes ». 100000 flics déployés pour faire respecter le confinement. Ces gentils policiers qui viennent de se distinguer par la violence d'Etat qu'ils ont déployé depuis plus d'un an, au point qu'ils sont surnommés « miliciens » en référence aux flics vendus aux nazis sous le gouvernement de Vichy. Ça aide à tenir le confinement, à n'en pas douter.

     

    On reconnaît là le style de la dictature en marche. Jugulaire, jugulaire. Faites comme on vous dit et on vous dit à la maison. Macron en guide impositif des français, de toute son autorité appuyée sur 10% de privilégiés. A la niche, les Coronazes !

     

     

     

    Et, comme d'habitude, le présidenticide n'a pas précisé s'il appliquerait à lui et ses copains ministres, secrétaires, la consigne de confinement. Finis les voyages en avion au frais du contribuable ? Finis les dîners d'apparat dans le château ou à Bregancon ? Finis les points presse incessants, dont il a promis le maintien « pour vous tenir au courant » ?...Car il est toujours très jouissif, pour la créature d'Attali, de nous signifier, du plus haut de sa morgue et de son mépris, quelle est la longueur de la laisse.

     

     

     

    Macron a donc adopté une ligne violente et désastreuse pour l'économie : le confinement. Raidissement instinctif de l'extrême-droite d'esprit qu'il incarne, et que n'ont pas choisi le Royaume-Uni, l'Allemagne, le Portugal, le Maroc, la Grèce et autres pays du Nord de l'Europe , ou la Corée du sud, citée par Edgar Morin comme un exemple de traitement adulte et intelligent du covid 19, sans confinement aucun. Toute à sa « transcendance », le monarque ne suit que les recommandations de son ego body-buildé et part sur son chemin de Compostelle. La « guerre sanitaire » est déclarée. Il la mènera pour les français, et contre leurs libertés fondamentales, leur culture d'échange, avec la peur comme alliée. Un grand combat à mener...

     

     

     

    Par l'armée des ombres, puisque dans sa version Ripper, Macron a dépecé les soignants du public, personnels et moyens, depuis son arrivée, comme l'avait fait Hollande, plus occupé à soigner son image que la vie des français, en papotant en permanence avec des dizaines de journalistes. Aujourd'hui, cette France des soignants, admirable de conscience professionnelle et de dévouement, Macron l'appelle alors qu'elle est à genoux, à la limite de l'explosion à cause des coups de hache donnés par...le même Zpresident, en mission depuis bientôt trois ans pour les profiteurs nommées multinationales ou fonds-vampires tel Black Rock, tous reçus avec les honneurs au Palais de l’Élysée.

     

    Le pire étant, dans le grand écart permanent entre les paroles et les actes que dévoile l'activité macronienne, qu'il a soigneusement prorogé la suppression des crédits pour les recherches consacrées, entre autres, au Coronavirus.

     

     

     

    Zpresident, malgré sa formation, son intelligence « jupitérienne » - selon l'invention d'un officiel de la presse des milliardaires -, ses manières si délicatement brutales de grand bourgeois thatcherien, n'est pas capable de coordonner dans un même discours l'économie et la santé. Ou évite soigneusement de les corréler.

     

     

     

    L'économie, elle est en train de se casser la figure à la vitesse d'un tsunami. Les Bourses, ces organismes parasites de prédation dirigés en sous-main sans doute par le crime organisé qui va toujours là où ça rapporte le plus, les Bourses du monde sont en chute libre, le CAC 40, indice des marchés français perdu près de 50% de sa valeur en un mois. Le Coronavirus n'est que l'étincelle qu'attendait une production en panne, étouffée par des consommateurs dont le patronat à méthodiquement gelé les salaires et précarisé les emplois jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus consommer. Une production, de toute façon, assommée par la finance qui interdit de fait toute grande entreprise avec un rendement à moins de deux chiffres, pour que les dividendes continuent à grimper.

     

     

     

    Cette économie française, mondiale, tenue par une poignée de banques au cœur du casino boursier, elles-mêmes toujours plombées par les dettes non-épongées issues de la crise précédente, ne progresse plus. Elle est sans horizon et sans soutien. Comme les États noyés sous les Dettes abyssales, qui ne seront jamais remboursées. Mais Macron continue à servir cette politique, en s'appuyant sur cette Dette que lui-même alimente, chaque jour d'emprunt.

     

    Son principal travail, depuis son élection, a été de dénoncer les dettes publiques, le coût des « services publics ». C'est à peu près tout ce qu'il a fait d'effectif durant son autocratique mandat, règlements, lois et forces de l'ordre à l'appui. Il a ainsi privatisé une foultitude d'entreprises dans des conditions totalement défavorables à l’État, quand elles n'étaient pas à la limite de la légalité, comme l'affaire Alstom.

     

     

     

    Dernier moulinet de bras, Macron met sur la table 300 milliards d'euros, de prêts... Que ne les a-t-il alloués, mais en cash, à tous ces services publics, notamment infirmiers, urgentistes, virologues et autres médecins, qu'il épuise sous des charges de travail, des missions impossibles, des budgets étiques, jusqu'à ce que les personnels choisissent le suicide. Non, un prêt, ça se rembourse. Capice ?

     

     

     

    La tactique de l'immense Zpresident est simple, au fond. Il s'agit d'imposer et de mentir sur les chiffres comme les destinataires. Avec pour toile de fond une économie française presque à l'arrêt, plombée par cette Dette que Macron ne répudiera jamais. Le prêt que tire soudain, via la BCE, l'illusionniste de son chapeau-clac, va-t-il aller chez le petit plombier, le petit cordonnier, la parfumerie, le marchand de souvenirs, le coiffeur ou autre petit commerce, artisanat ?.. Il ira, bien évidemment, chez toutes les multinationales du CAC qui font fonctionner la spéculation et rémunèrent à mort les dividendes et leurs grands patrons.

     

    Vous croyez financer, avec votre sueur, la lutte contre le Covid 19, la « guerre », et vous remplirez les poches de ceux qui vous précarisent, vous jettent comme des poussières sur leur col parce que vous ne plaisez plus, parce que vous coûtez trop cher à des gens qui gagnent mille fois plus que vous.

     

     

     

    Et pourquoi ne pas faire encore plus mesquin, si possible...Zpresident n'a pas eu même la décence minimale d'augmenter les salaires et les moyens de ceux qu'il va contraindre à encore un effort, les soignants. L'intendance suivra.

     

     

     

    En réalité, il peut aller encore plus loin dans la dynamique en voie de déshumanisation qui irrigue la politique dérégulée, livrée aux appétits privés, aux carrières protégées et à la satisfaction démesurée d'un monde financier tout-puissant.

     

     

     

    Zpresident aurait été alerté depuis le 11 janvier, par l'ex-ministre Buzyn, sur la propagation du covid 19. Deux mois pour préparer la guerre... Une guerre contre un ennemi qu'il a peut-être sciemment laissé prospérer pour des motifs politiques inavouables : cacher encore et toujours, le désastre qui vient lentement mais sûrement, et s'accélère ces derniers jours. Le désastre d'un monde économique complètement à l'envers, corrompu et dysfonctionnant au possible.

     

     

     

    Peut-être aussi pour endosser la toge du Sauveur, car il y a quelque chose de christique dans les propos et les conceptions du Zpresident, tel qu'il les livre parfois à la presse.

     

    Le christ, si l'on en croit la Bible, aurait fini sur la croix pour sauver l'humanité. S'il y a une chose dont on peut être raisonnablement certain, c'est qu'avec le parcours luciférien du Zpresident et la détestation corrélative qui le suit à la trace, il devra déployer bientôt toutes ses forces pour sauver son avenir politique, voire plus...

     

     

     MAJ 20/03/2020

     

    Quelques réflexions sur l'environnement et l'éclairage qu'offre la lumière sombre du Covid.

     

    On y est depuis bientôt quatre jours. A regarder par la fenêtre ces putains de piaf que les murs font rire et tout ce soleil gaspillé; à s'arc-bouter contre le poids des heures, des jours, des semaines à tenir, coincés dans une mauvaise solution évidemment choisie par le Zpresident, un espèce justicier dystopique, en guerre contre les victimes et travaillant pour ceux qui s'enrichissent sur les conditions de vie misérables qu'offre le capital à des milliards de personnes - conditions de vie dont BFMTV, incarnation de la junk-TV dont le journéantisme contaminé prolifère comme le COVID dans les rédactions de tous les médias publics et privés, ou presque. Sur ces conditions de vie dégradées, dans la saleté, la misère, avec la malbouffe, l'impossibilité de se soigner, la crasse et la promiscuité, là est né le COVID, la naîtront les autres pandémies.

     

    Rappelons que le confinement est né sur une double faute du Zpresident.

    Un, il a sous-estimé et attendu, trop attendu pour réagir, poussant jusqu'au bout l'incertitude qui mènerait ses adversaires majeurs, qu'il fait tabasser et dénigrer par les mercenaires de la junk-info, BFMTV, LCI, et autres porte-clés "I love you" de cette race supérieure à euro-ADN, le milliardaire.

    Deux, il a pris la solution que n'ont pas adopté le Royaume-Uni, la Hollande, ou la Suède, entre autres dizaines de pays qui raisonnent et planifient. Inconvénient majeurs du confinement, outre ceux qui sont développés plus bas, "M. Rutte [PM Hollandais] a indiqué, lundi 16 mars, qu’« une grande partie » de la population néerlandaise serait affectée, mais qu’il n’était pas question de décréter un confinement total, qui risquerait de faire « immédiatement » renaître le virus dès que la mesure ne serait plus en vigueur.". Même attitude du côté de Boris Johnson.

     

    Et pourtant les pressions pour confiner sont violentes. Il en va de cette ligne brune qui traverse les têtes des (ir)responsables européens : imposer, dominer les peuples en toute circonstance - la Commission UE est la parfaite illustration de ce nouveau genre d'institution œuvrant chaque jour contre ceux qui la financent et qu'elle devrait servir. Cette première pandémie permettra de parfaire ce fascisme consensuel. Pour mémoire, La stratégie du choc de Naomie Klein, ne disait pas autre chose: ils profitent du chaos, quand ils ne l'ont eux-même généré, pour accentuer leur domination et faire passer les réformes les plus nuisibles, les plus anti-sociales. Exemple, en plein épisode Covid19, Macron se vante (cf tweet @EmmanuelMacron 19/03/2020) de refuser un budget, "minimal" selon les chercheurs eux-mêmes, de 1% du PIB, pour ne lâcher qu'une obole qui ne permettra pas les recherches, par exemple, pour aboutir aux vaccins successifs contre les pandémies mortelles.

     

     

    Le confinement est une mesure psychologiquement malsaine, dans les conditions où on l'impose. Elle est relayée avec sans doute autant de "Une" favorables, voire dithyrambique que le fut Zpresident. Toutes les chaines d'infos dramatisent au maximum le Covid, les morts à venir. Et surtout l'insouciance, la frivolité indocile de ces français(es) par nature rebelles à la Raison.

    Propos appuyés tranquillement sur la peur de la maladie, bien naturelle. Elles qui furent vilipendés, moquées avec véhémence - "Macron, tête de con", hurlaient les Gilets Jaunes - et constance depuis plus d'un an, rendent la monnaie avec une usure à ces inconscients, ces imbéciles, ces irresponsables qui se promènent à plusieurs dans la rue, vont s'allonger en groupe au soleil de Mars. Et les "experts" de BFMerdeTV - surnom de cette chaîne chez les journalistes eux-mêmes -, les pros à micro, comme le désopilant P. Praud alimentent la machine à opprobre. Il faut être aveugle, ou infecté par le virus macronien, pour ne pas sentir le mépris, la haine renversée que nous renvoie la  pointe brûlante de cette classe privilégiée. Alors, vous confinez, ou vous confinez à la connerie populaire ?

     

     

    Vous avez pris sur vous, vous allez confiner, seul ou à  plusieurs. N'oubliez pas, il y a confinement et confinement. Si vous êtes parisien aisée, vous filerez en voiture, en taxi, ou en wagon de première classe vers votre résidence secondaire : jolie maison, petit parc, la nature et le calme. Ainsi, Leila Slimani, journaliste prix Goncourt, peut laisser s'écouler la douceur des jours, peut-être en relisant la Recherche, histoire de ripoliner le reflet que Proust lance au grand-monde dont il faisait partie.

     

     

    Si vous êtes mère célibataire, avec deux gamins dont un de quelques mois et l'autre ado, que vous surviviez avec quelques ménages au black, et une poignée de piécettes que la machine à radier vous alloue, moyennant obligation de pointer, ça va s’avérer juste infernal, le confinement. D'autant que vous verrez qu'au lieu d'avoir le souci de la majeure partie de la population, la "télé de merde" (cf Cabu) relaiera (voir plus haut) les récits du confinement bourgeois, la détresse en gants blancs, les états d'âme proustiens d'une France presque en vacances.

     

    Si jamais vous êtes petit commerçant non-autorisé à ouvrir, les journées de perdus compteront les clients perdus, et si l’État promet d'abonder vos pertes, ce sera bien tard, voire jamais, comme d'habitude. Bref sans bouger du confinement vous passerez de l'activité à la faillite. Et vous aurez beau crier, tempêter, les services de l’État ou les CCAS pour quand même voir une assistante, manger quand vous n'aurez plus un centime, - vu que vous jonglez déjà, en temps normal -, il faudra leur écrire, par mail, sans oubliez votre numéro de dossier. Mais l'opérateur bugue, saturé. Mais l'agent local, ou national est malade. Mais vous aurez tout le temps d'y penser.

     

    Le confinement n'empêchera pas la maladie de rester à la porte. Son choix n'a été concerté que par Macron et son staff secret, en concertation avec les scientifiques, sur le mode bien connu "vous parlez, je décide", mode unique pour Macron, dont on a vu à l'occasion des différentes lois, et comme le soulignent ses proches, n'écoutent rien et décide seul. Toujours pour l'intérêt d'une poignée de parasites, les ultra-riches ou sa propre gloriole, son avenir politicien de Zpresident dystopique.

    Le confinement va écraser toute cette France déjà épuisée par la crise économique, les coups portés à son pouvoir d'achat, ses libertés, son avenir, par l'ultra-libéra Sarko, le retourné Hollande, et l'ultra-libéral +++ Macron. Beaucoup y laisseront leur niveau de vie, un certain nombre leur santé, et pas forcément à cause du Covid.

     

    Le confinement repoussera un temps le Covid, mais ses forces resteront intactes, au pied du rempart, prêtes à déferler sur une population qui ne sera pas immunisée.

     

    Le confinement est un immense alibi, de fait, pour faire passer en douce des réformes en cours qui sont un déni de l'attitude que prétend avoir Zpresident. Et qui attendrira la bête, pour l'amener à se taire devant le renflouement exigé, immense et généralisé des canailles boursières dont Macron est le fils sinon génétique, du moins spirituel. Lesquelles vont frapper à la  porte car les Bourses s'écroulent, soi-disant à cause du Conavirus. En réalité parce qu'elles représentent une circulation monétaire qui tourne à vide, qui ne participe nullement au soutien de quelque entreprise que ce soit, mais fonctionne en achats-ventes aussi fous qu'énormes, alimentés par le QE, et réservés à une sélection minuscule d'"investisseurs institutionnels" qui se goinfre.

     

    Au sortir du confinement, si on en sort, il y aura donc une austérité maximale, et comme d'habitude un chœur dévoué à pleurer ces pauvres Arnaud, Bettencourt, Drahi...Avec un pays au bord de la faillite, avec encore moins d'emplois, avec une Dette encore plus énorme et une pauvreté grimpant en flèche...Mais sous la bienveillante supervision de notre Zpresident.

     

     

     

     

     


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