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    e savais que tu étais malade quand je suis parti te retrouver

     

    Je le savais, parfois le monde se révèle sans explications et sans créance

     

    J'ai laissé les questions, j'ai oublié les raisons et je t'ai rejoint

     

    Un brin de soleil m'a accueilli au fond de l'appartement

     

    Et ta voix pour maîtrise, comme un nuage dense

     

    Ton visage d'ange ne souriait pas, peut-être

     

    Parce que tu me connaissais comme je te connaissais

     

    Déjà nous étions liés dans le temps du rêve

     

     

    Rien que de nécessaire dans l'étrangeté de l'amour

     

    Rien que d'obligé dans notre présence mutuelle

     

    L'un à l'autre nous portons souci

     

    Et si ce n'est la plus douce, la plus sereine des existences

     

    Et si nous n'ignorons pas que tout cela ne peut finir sans peine

     

    Nous prenons soin de nos regards, de nos mains, de nos paroles enlacées

     

    Parce que je ne saurais survivre s'il me fallait un jour

     

    Regarder ta tombe à mes pieds

     

    Pareil pour toi, ma belle, pareil pour toi.

     


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  • Retour sur un sondage qui a ruiné des mois d'efforts de la Gauche pour dénoncer la politique allemande d'austérité que nous subissons tous. A la manoeuvre l'IFOP,..

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  • Dans un futur pas si lointain, le combat d'un homme pour sa femme malade, dans un monde qui n'appartient toujours qu'aux puissants, tandis que les eaux montent...

     

     

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  • Cow-boy, viensur la plage le cow-boy se dandine

     

    Éperons couverts de sable

     

    Il dandine vers nulle part

     

    La plage ondule

     

    Là-bas, là où le regard du cow-boy se perd

     

    Il y a comme un tournoiement et le noir

     

    Viens voir le noir qui descend vers l'eau

     

    Le cow-boy regarde les eaux qui se tordent

     

    Les eaux furieuses et le noir qui descend

     

    Le cow-boy ne regarde plus le ciel, il avance

     

    Vient le noir.

     


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    L'austérité vieillit, l'inflation a fait son temps, heureusement l'épouvantail déflation vient de sortir...

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